mercredi 20 mai 2009

Astronaute




L’histoire d’une planète perdue, ses astéroïdes gravitent autour d’elle mais aucun ne s’approche, sa force d’attraction les empêchent de l’approcher, est-ce mieu ainsi?

Astre oublié de tous, sans même la chaleur d’une étoile dans son orbite. Planète cachette de trou noir, fantôme d’étoile perdue aspirant tout autour.

Planète désolée et pourtant si vivante, planète oubliée planète étrange.

Planète sans vie ou planète qui survie?

Petit astronaute trouvera tu ma planète?

Petit homme montre moi le chemin.

Redonne moi mon oxygène, ma planète meurt.

Dit moi, petit homme, comment est ton ciel?

Est-il aussi noir que le mien?

Sinon reste sur ma planète et prend ta palette.

Faisons jouer les couleurs sous nos doigts, fais moi découvrir l’arc-en-ciel.

Cours avec moi, nous créerons de nouveaux pastels.

Faisons durer le rêve jusqu’au soleil couchant, de toute façon tu ne restera jamais qu’un astronaute.

Tu retourneras dans ton jeu d’astronaute.

Et moi avec mes pastels.

Jusqu’au prochain lever de soleil.

À jamais…

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Poesad

dimanche 12 avril 2009

Éloge de la marginalité




‘’Le beau est toujours bizarre’’

Les gens ‘’ Normaux’’ arrivent, nous regardent et nous jugent. Ils jugent sans savoir, sans comprendre mais ils ne veulent pas comprendre, ils se cachent car ils ont peur de l’inconnu. Ils ont crée eux même les chaînes qui les retiennent et prétendent être heureux avec elles. Ces chaînes ont un nom; la conformité.

Ils oppriment les marginaux, se justifiant au nom de la conformité. Selon eux, nous sommes des aberrations devant disparaître. Mais au fond, pourquoi cette réaction? C’est si simple, nous sommes les reflets de tout ce qu’ils ne seront jamais, de tout ce qu’ils n’auront jamais; la liberté, l’individualité.

Ils ont peur de nous car nous sommes ce qu’ils n’ont jamais osé être. Chaque personne a ses propres idées, ses propres idéaux, malheureusement beaucoup ne les développent jamais, pourquoi ça? Par peur, peur de l’inconnu, peur d’aller à contre courant, ils savent que le clou qui dépasse se fait toujours taper sur la tête et ne veulent pas subir ça. Ils finissent par opprimer ceux qui osent dire leurs idées au grand jour car ils leurs en veulent d’avoir le courage qu’eux même n’ont pas eu.

Car oui il faut du courage, le courage d’assumer ce que nous sommes, le courage de dire ce que nous pensons sans se soucier de ce que disent les autres. Pour certaines personnes, ce fardeau est bien souvent trop dur a porter pour leurs épaules frêles. Car, nous avons tendance à l’oublier, nous sommes et n’avons toujours été que des enfants fragiles et bien souvent nous n’avons pu nous renforcer car au moment où nous avions eu besoin d’aide, nous nous sommes fait rejeter par les personnes sensé nous aimer les plus au mondes.

Car bien souvent les parents ne peuvent supporter la différence de leurs enfants. Ils disent que c’est pour notre bien qu’ils nous oppriment ainsi, mais ne serais-ce pas plutôt par jalousie? La jalousie de voir que NOUS nous osons vivre nos rêves, nous osons voir plus loin que ce qui es devant nous. Nous avons besoin de soutient malgré parfois nos paroles prétendant le contraire, mais bien souvent nous devons nous en passer et cheminer seul.

Nous rêvons à des mondes n’existant que dans nos esprits, ce qui paraît anormal, mais qui es pourtant si libérateur. Cela nous aides a pallier ce manque de soutient, mais certain on tendance à abandonner la partie, ils sombrent dans les méandres du désespoir, ou bien ils s’abandonnent a cette vie de conformité, devenant un mouton parmi tant d’autres, opprimant les marginaux qui ont osé vivre leurs rêves malgré tout, et ça recommence. La boucle est bouclé, joli cercle vicieux n’est-ce pas?

Pourtant, il faut garder cette force, cette imagination qui nous permet de vivre malgré cette vie souvent si peu clémente. Parfois la tentation est grande de se laisser aller dans un paradis artificiel, du rêve condensé vendu en comprimé. Plonger dans un ciel liquide est si facile, mais s’y noyer également est si facile. Devenir une coquille vide, ne plus penser a rien pour échapper au monde si dur, c’est facile, mais ne serais ce pas montrer aux autres qu’ils ont eu raison? Et puis de toute façon, le rêve finis toujours par se terminer à un moment ou à un autre, et c’est ce qu’ils faut éviter.

Chercher à fuir, se fuir soi même, fuir la critique, quelle lâcheté!

Car oui c’est bel et bien une fuite, c’est se mentir a soi-même et mentir au autres et au final ça abouti à la mort de l’âme, on disparaît dans le néant en ne laissant qu’un vague souvenir flou. Est-ce vraiment ce que nous voulons?

Bien sûr que non! Il faut se battre pour ce que nous sommes et ainsi nous marquerons les esprits, peut-être pas individuellement, mais peut-être en groupe, qui sais?

Enfin, certains ne seront pas en accord avec mes paroles car ils auront une vision différente. Mais n’est ce donc pas la beauté de la chose? Des milliers de rêves et d’espoir différent convergeant vers un but unique; le bonheur. Oui car au fond, tout le monde y aspire malgré tout, mais empruntent des chemins différents pour y parvenir.

Bien sûr, les conformistes on depuis longtemps cessé de le chercher réellement, ils vivent une vie tranquille, croyant trouver leurs bonheur en calquant leurs vie sur celle des autres. Mais ne parlons donc pas de cas désespéré, car au fond, ils ne sont pas réellement heureux malgré ce qu’ils pensent, après tout, c’est peut-être ça leurs vision du bonheur, ils n’ont connu rien d’autre et n’ont pas osé/voulu chercher par eux même.

Ces gens pensent que nous sommes à plaindre alors que c’est le contraire, mais bon, autant apprendre au cochons a voler, nous obtiendront probablement plus de résultat.

Enfin, autant arrêter ici pour aujourd’hui, je pourrais épiloguer là-dessus pendant des heures…………………………

En attendant, faites moi part de votre opinion!

Je vous souhaite une journée bizarre ;)

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Poesad

mercredi 5 novembre 2008

Marilou - Tactile



J'adore vraiment cette chanson, un futur tube assurément... et tellement vrai parfois...

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On sort nos webcams, nos cœurs en modem
Les écrans se parlent, en un clic on s’aime
Aventures en ligne, mais paroles en l’air
Sans adrénaline, nos baisers sont ternes

On s’envoie des smileys pour se faire des signes
On s’adore connecter comme on s’imagine
On efface la mémoire quand on s’abandonne
Mais qu’est-ce qu’on se donne ?

Sans si et sans mais, je te veux tout contre moi
En ligne, virtuel : on perd le fil
C’est physique, sans appel
J’veux me blottir dans tes bras
Fragile et réel, j’veux d’un amour tactile

Am I dreaming, dreaming, dreaming ?
Dreaming, dreaming, dreaming

Docile en mobile, d’une touche on s’attache
Pour garder la ligne on perd le contact
On surfe en solitaire quand l’amour sans mêle
Une histoire éphémère, c’est la mise en veille
Nos envies en vitesse, on se fait la paix
Pas d’échange de caresse, on s’aime en appel
On ferme toutes les fenêtres quand on s’abandonne
Mais qu’est-ce qu’on se donne ?

Sans si et sans mais, je te veux tout près moi
En ligne, virtuel : on perd le fil
C’est physique, sans appel
J’veux me blottir dans tes bras
Fragile et réel, j’veux d’un amour tactile

Am I dreaming, dreaming, dreaming ?
Dreaming, dreaming, dreaming

Reconnecte-toi
Viens tout contre moi
Reconnecte moi
Je suis près de toi

Sans si et sans mais, je te veux tout près moi
En ligne, virtuel : on perd le fil
C’est physique, sans appel
J’veux me blottir dans tes bras
Fragile et réel, j’veux d’un amour tactile

Am I dreaming, dreaming, dreaming ?

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Marilou - Tactile

Fournis par: Poesad

jeudi 21 août 2008

J'ai rêvé...



Voilà un petit texte sur le pouce, je me suis inspirée d'un rêve que j'ai fais cette nuit .


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Aujourd'hui j'ai fais un rêve...
Pour avoir été stupide...
On m'as jeté un sort...
Un sort cruel...
Sais-tu ce que c'était?

Tu étais là...
Mais je ne pouvais plus te voir...
Je ne pouvais plus t'entendre...
Ni sentir ta chaleur...
C'était horrible...

Je te cherchais désespérément...
Et pourtant tu étais tout près...
À mes côtés...
Mais je ne le savais pas...
Quelle était ta réaction?

Je l'ignore...
Et je l'ignorerais toujours...
Car quand je me suis réveillé...
Je l'ai su...
Ce n'était pas un rêve...

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Poesad

dimanche 6 juillet 2008

Fatras

Voici euh... pas grand chose en fait...

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Née du silence
Parfait concernement , mon meilleur amie
Trop pour vivre pour, trop pour mourir pour
Ma lettre d’amour destiné à personne

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Regarde moi, froide comment l’argent, froide comment la neige.
Regarde le jour qui part, laissant sa place aux ténèbres.
Maintenant c’est silencieux comme l’argent, froid comme l’est l’argent
Regarde la lumière froide reflété par mes ailes
Tu es la plus belle, tu es à moi

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Qui c’est le monstre?

Reviens voir comme la nuit est pernicieuse
Tu peux entendre comme elle est louche
Tu la sent comme une extension de toi
Reste là, tu la sent bouger

Un pas vers le mal, est ce un monstre?
Un pas commun sommes nous des monstres?

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Mon cœur fait boum boum
Tout le temps je pense à toi
À l’intérieur ça fait boum boum
Je perd le contrôle à ta seule pensée
Parce que je veut être ton amante
Mériter cette place
Je ne peux vivre dans l’erreur encore
Entend tu le boum boum

Mon cœur fait boum boum boum
Tout le temps je pense à toi
Je me sent boum boum boum
Je perd le contrôle c’est tout ce que je sais faire
Complicité
Complexité
Réalité
Elle est plus dure
Incroyable comment je peux me sentir
Juste par ta présence
Je devient boum boum boum
Mon cœur fait boum boum boum
Laisse moi te toucher
Pour que nous faisions ensembles boum boum boum

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Bébé peut tu voir
Je t’ai appelé
L’as tu vu
Je ne ferais ça que pour un seul homme

Aucun échappatoire
Je ne peux attendre
C’est dangereux
Je sombre
Aucun échappatoire

Le sent tu maintenant

Le seul goût de tes lèvres je le garde en mémoire
Le goût de ton poison
Tu m’intoxique

Le sent tu maintenant

Le seul goût de tes lèvres je le garde en mémoire
Ta toxicité seule me fait réagir
Le goût de ton poison
Bébé est tu conscient comme tu est toxique

mardi 24 juin 2008

Il retrouvera ses ailes


Voici hum… pas vraiment un poème, pas vraiment une chanson… c’est autre chose mais je ne sais comment je pourrais décrire ceci…Par contre c’est… un peu… pas sanglant mais assez… dérangeant ?
(En fait j’ai ‘’Fuckin disturbing and a little bloody and gore ’’ en tête mais ce n’est pas vraiment approprié erf… n.n)
J’ai tentée de donner un thème sur les violences physiques et sexuelles posé sur les enfants ainsi que leurs conséquence.
C’est un thème qui me touche à cœur et que j’aimerais dénoncer.
Enjoy!
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Une porte qui claque…
Un sanglot qui résonne…
Un gémissement de désespoir…
Le bruit d’un corps qui se laisse glisser par terre…
Un petit corps…
Trop petit…
Trop jeune…
Un petit corps meurtri…
Brisé…
Serrant un drap contre lui…
Comme un rempart…
Vaine tentative de protection…
De soulagement…
Mais tout de même tremblant…
Se sentant en insécurité…
Alors que ce devrait être le contraire…
Cette maison…
Devrait être un havre de paix…
De sécurité…
D’amour…
N’est ce pas… ?

Ils ont perverti le mot ‘’amour’’ …
Ils ont salit le corps d’un ange...
D’un tout petit ange…
Qui ne méritait pas de voir ses ailes arrachées…
Salies…
Tâchées…
Pour toujours…
Laissant une trace indélébile…
Comme un poison…
Sans espoir de guérison…

Mais ce soir…
C’était la dernière fois…
Plus jamais…
Il n’aura à subir ça…
Car il a pris une décision…
Plus jamais…
Il ne subira cela…
Quel beau rêve…
Ne plus jamais souffrir…
Ni se sentir souillé…
Ni sentir ce dégoût de soi-même…
Et cette détresse…
Cette colère…
N’est ce pas merveilleux…?

Maintenant il peut sourire…
Car il le sait…
C’est fini…
Cette humiliation…
Cette colère…
Cette violence…
Il s’approche de son lit…
Vide…
Enfin…
Il sort quelque chose de son drap…
Quelque chose de long…
Métallique…
Coupant…
Tâché…
Comme ses ailes, oui…
Laissant tomber quelques tâches carmine…
Sur le lit…
Comme de petits papillons rosé…
Signe d’espérance…?
Preuve de son action…
Et pourtant…
Enfin…
Il se sent léger…
Libéré…
Extatique…
Heureux…

Maintenant il doit se libérer à son tour…
Pour ne plus souffrir…
Il pointe l’objet sur lui…
Et pourtant…
Il n’a pas peur…
Il n’a plus peur…
La lame entre en lui…
Et pourtant il est heureux…
Heureux de cette douleur…
Car il sait…
Sa délivrance est enfin arrivée…
Enfin…

On le retrouvera couché calmement dans son lit…
Entouré de ces tâches carmine…
Comme des pétales de roses…
Un doux sourire aux lèvres…
Un sourire rêveur…
Car…
Enfin…
Il a retrouvé ses ailes…
Pour l’éternité…

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Poesad

Je déteste tout de toi


Voici euh... c'est pas vraiment une chanson de moi... j'écoutait ''I Hate every thing about you'' de three days grace et bien euh... je me suis amusée a transcrire ce que les paroles devais dire selon moi, voila!


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À chaque fois que nous mentons effrontément
Après chaque coups que nous subissons
Chaque sentiment que nous avons
Quand nous prétendons nous passer de cette présence
Démentis par chacun de nos cris silencieux
Toutes les peurs que nous possédons
Mais nous répétons qu’il ne nous manque pas
Tout en cherchant désespérément l’endroit où nous cesserons d’y penser
Je déteste tout à propos de toi
La meilleure façon pour arriver jusqu’à toi
Je déteste tout a propos de toi
Ma meilleure façon de t’aimer
Chaque fois que je ment
Après chaque coup que je subis
Avec tout mes sentiment
Tu ne me manques pas
Mais je cherche l’endroit où je ne penserais pas à toi
Je déteste tout à propos de toi
La meilleure façon pour arriver jusqu’à toi
Je déteste tout a propos de toi
Ma meilleure façon de t’aimer
Seulement, quand j’arrête de penser à toi, pourquoi tu le sais
Seulement quand tu arrête de penser à moi, pourquoi je le sais
Je déteste tout à propos de toi
La meilleure façon pour arriver jusqu’à toi
Tu déteste tout à propos de moi
La meilleure façon de m’aimer
Je détestes
Tu déteste
Je déteste
Tu m’aime
Je déteste tout à propos de toi
Ma meilleure façon de t’aimer…
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Poesad